mardi 12 novembre 2013

Respecte ton père et ta mère


« Enfants, c'est votre devoir devant le Seigneur d'obéir à vos parents, car cela est juste. « Respecte ton père et ta mère » est le premier commandement suivi d'une promesse : « afin que tu sois heureux et que tu jouisses d'une longue vie sur la terre. » Éphésiens 6:1-3

afin que tu sois heureux et que tu jouisses d'une longue vie sur la terre.

Pourquoi encore garder de la rancune, des a priori négatifs, du non-pardon sur nos parents ?
Nos parents sont l'autorité établie de Dieu sur nous leurs enfants (même si t'a 50 ans tes toujours l'enfant de ton géniteur et génitrice (père /mère) et en tant qu'autorité nous leur devons le respect et notre amour, amen !
Cela ce peut que nos parents n'ont pas toujours été des parents aimants, voir certains était méchant !
Nous avons peut-être grandi avec un sentiment de « rejet » du père ou de la mère, parfois des deux.
Comme moi vis-à-vis de mon père, j'ai pris des années avant de lui dire « je t'aime papa » mais aujourd'hui, grâce à l'amour de mon Père Céleste, je peux le dire, amen !Savez-vous que votre vie ne sera jamais parfaitement bénie TANT QUE VOUS N'AVEZ PAS RÉGLER LES PROBLÈMES vis-à-vis de votre père, mère. Vous êtes OBLIGER de pardonner et d'aimer, amen !
Vous savez dans mon article Mission au Burkina Faso 20 au 27 décembre2013, la personne qui me fit le don de 200 euros est mon PÈRE !
Je n'avais plus eux d'argent de sa part depuis des années. Mais grâce à notre réconciliation, nos retrouvailles et l'amour que Dieu ma donner pour mon papa. Dieu a répondu à ma prière pour la mission cela par MON PÈRE, amen !
Il n'est pas encore converti MAIS IL N'EST PLUS TRÈS LOIN, amen
Il ramènera le cœur des pères à leurs enfants, Et le cœur des enfants à leurs pères, De peur que je ne vienne frapper le pays d’interdit. Malachie 4.6

Voyez-vous ma vie spirituelle va prendre une nouvelle direction et Dieu va bénir ma vie plus généreusement parce que la parole le dit : afin que tu sois heureux et que tu jouisses d'une longue vie sur la terre.
Prenez la décision rapide de régler vos affaires de famille, demander de l'aide si vous avez difficile à pardonner, et sachez que le Saint Esprit vous consolera et vous délivrera de tout sentiment impur, amen !
Soyez réconcilier avec vos parents
Dominique

vendredi 25 octobre 2013

Nouvelle de mon amie et missionnaire Suzanne Mairet

"Ouvre ta bouche pour celui qui ne peut pas  
  s'exprimer, pour la cause de tous les délaissés !
  Ouvre ta bouche, juge avec justice et défends 
  le malheureux et le pauvre ! Pr 31/8-9
 
  
  Vielprat, le 16 Octobre 2013.
  
    Chers amis,
    Me voici à la veille de reprendre un vol pour la Côte d'Ivoire !
    C'est la 13ème année que je me rends dans ce pays, et je ne puis que bénir la fidélité de notre Dieu à l'égard de ce ministère du Lys Des Vallées. Malgré bien des épreuves, des difficultés, inlassablement, je poursuis le but de "redistribuer leur héritage aux pauvres et aux malheureux", et tout particulièrement secourir, accueillir les enfants orphelins, délaissés ou abandonnés. Nous avons ouvert une maison à Dimbokro où sont logés le Pasteur Paul Lamah et Yvette son épouse, mais aussi Augustin, un jeune disciple Togolais, orphelin de père.  Par ailleurs des enfants ont été accueillis et scolarisés en ce début d'année scolaire, grâce aux dons reçus de votre part et aux parrainages. Plus de 30 enfants en classe primaire ont reçu un kit de matériel scolaire ! Quelques lycéens ont aussi été accompagnés et aidés financièrement, mais là, la barre est plus élevée financièrement, et nous espérons que notre Dieu suscite de plus en plus de parrainages afin d'être à même d'investir pour les plus grands à l'avenir.
    A travers mon expérience du terrain, et au fil des années, j'ai compris l'importance capitale d'éduquer et accompagner spirituellement tous ces enfants orphelins, délaissés ou abandonnés. Ils sont en très grand nombre et très peu se soucie d'eux, sinon les exploiter, les envoyer travailler dès leur plus jeune âge, dans les champs, sur les marchés, ou bien mendier partout dans les rues ! D'autres sont utilisés comme boys ou servantes ! Beaucoup de petites filles se vendent pour quelques centimes d'euros, d'autres sont violées. Des enfants aussi restent enfermés en prison pour quelques vols à l'étalage dans le but de se nourrir bien souvent.
Désireuse de réussir cette mission auprès des enfants, j'ai choisi de laisser ma maison en France, car je ne pouvais supporter financièrement les charges locatives dans les 2 pays. J'ai trouvé un garage où j'ai pu stocker toutes mes affaires. J'espérais contre toute espérance pouvoir passer un container, mais je n'en ai pas reçu les moyens financiers pour l'instant. Je vais donc louer une autre maison à Dimbokro où je logerai moi-même, et où j'aimerai bien mettre en place une pouponnière pour les plus petits, car en visitant des dispensaires, j'ai appris que nombre de jeunes mamans meurent en couche ou bien faute de moyens, abandonnent leur enfant nouveau-né.
    Par ailleurs, nous travaillons à obtenir des autorités locales un terrain afin d'y établir notre base missionnaire sur laquelle nous pourrons non seulement construire un centre d'accueil familial pour les enfants, mais aussi favoriser la formation de disciples en les éduquant dans l'enseignement de la Parole de Dieu, également en développant un travail agro pastoral.
    Nous avons besoin du soutien du plus grand nombre, et ce, à tous les niveaux !
    Que notre Dieu vous bénisse dans l'abondance !
    Qu'Il touche votre coeur pour nous aider à aller plus loin dans la mise en oeuvre de cette vision missionnaire ! C'est ensemble que nous la réaliserons !
    Cachée en Lui, dans Son amour, recevez ma sincère affection, Suzanne.
               
           Sur la photo : Les élèves ayant reçu leur kit scolaire, et tout en bas à droite, la Pasteur Paul Lamah.
 Prions et soutenons ceux qui se lève par la foi en Christ pour soulager la souffrance des petits, soyez bénis Dominique

mardi 22 octobre 2013

Oswald J. Smith - Ames affamées de Réveil



Quand j'ai visité la Russie, j'ai pu voir Dieu à l'oeuvre d'une façon remarquable. Les gens n'hésitaient pas à faire 20 kilomètres à pied, d'autres venaient en charrette ou à cheval, parcourant 200 kilomètres pour assister aux réunions. Les cultes duraient deux ou trois heures consécutives, et il y avait parfois jusqu'à trois réunions par jour. Et encore, ces braves gens trouvaient qu'ils n'en avaient pas assez et venaient dès le matin prier ensemble, avant l'arrivée des prédicateurs !
Pas besoin de publicité ; chacun le disait à son voisin et ils arrivaient de tous côtés, remplissant les salles jusque dans les moindres recoins, même les plus grandes étaient combles. Je me souviens d'avoir prêché, entre autres, dans une chapelle luthérienne à 3.000 personnes. Oh ! Comme ils buvaient la Parole ! En plein air, c'était pareil, et la réunion pouvait se prolonger pendant trois heures sous la pluie ; tous écoutaient avidement, hommes, femmes et enfants, tous des âmes affamées !

Et comme Dieu a opéré puissamment là bas !
Dès le début de la campagne c'était l'atmosphère du Réveil. On priait, on chantait, on rendait témoignage, et les larmes coulaient sur bien des visages. Le coeur brisé, ils écoutaient le message et, quand venait le moment de l'appel, un grand nombre se levait pour venir s'agenouiller devant l'estrade et crier à Dieu avec larmes pour obtenir Son pardon.
Voici quelques extraits de mon journal durant la campagne :

Impossible de décrire les scènes qui se déroulèrent au cours de ces journées, car ce que Dieu a fait est tout simplement miraculeux. Chaque soir le grand auditorium était plein à craquer, les gens se tenant debout dans les couloirs, sur l'estrade et partout. Le devant de la chaire se remplissait sans cesse de pénitents dont beaucoup acceptèrent le Sauveur pour la première fois. Je ne saurais en fixer le nombre.
Mais le culte de 10 heures du matin fut le point culminant de ce festin spirituel. Une fois la salle remplie on ajouta des chaises dans le choeur et un peu partout, beaucoup durent rester debout Alors la puissance d'En Haut descendit sur cette immense assemblée ; hommes et femmes tombèrent à genoux de tous côtés, et quelles prières ! Quelle repentance ! Quelles confessions avec larmes, mais aussi quelle joie inexprimable dans les témoignages Et comme ils chantaient, ces chers Russes ! Vraiment, c'était le ciel sur la terre.
A la fin du culte, on me demanda si je ne voudrais pas prêcher une fois de plus à 4 heures. J'y consentis, et à l'heure indiquée ils étaient de nouveau tous là. Une fois de plus, la puissance de l'Esprit était à l'oeuvre, et il y eut bien des larmes. Une Joie ineffable et glorieuse se reflétait sur bien des visages. Nous nous agenouillâmes tous dans le silence, et l'Esprit descendit pour faire Sa demeure dans plusieurs vies.
A 6 h 30 je parlai encore, puis à 8 heures quatre réunions dans la journée !
Peu après m'être retiré dans ma chambre, j'entendis frapper à la porte. Un étudiant entra et me dit que Dieu lui avait parlé. Il avait le coeur affamé de la vie d'en Haut et m'annonça sa décision de rester toute la nuit en prière jusqu'à ce que l'Esprit le possédât entièrement. Nous avons prié ensemble et il sanglotait éperdument... Quelques instants après, un autre frappait à son tour et venait me demander de me joindre à un groupe dans la chambre voisine. Je trouvai là plusieurs jeunes prosternés devant le Seigneur, face contre terre. Dieu leur avait parlé à eux aussi. Et la prière recommença, ardente, précise, passionnée, montant tout droit vers Dieu. Le péché fut confessé, des vies furent consacrées au Seigneur, et le Saint-Esprit, une fois de plus, eut la voie libre parmi nous.
Puis ce fut toute la troupe des étudiants qui arriva au grand complet et, tombant à genoux, les coeurs se répandirent librement devant le Seigneur, en russe, en allemand, en letton, en anglais. Oh ! Quelle heure bénie où ces coeurs brisés pleuraient ensemble aux pieds de Jésus !

Quelle joie de se trouver dans une pareille atmosphère de réveil et de voir le Saint-Esprit à l'oeuvre. Quand finalement ils se retirèrent pour continuer à prier dans leurs chambres. A quelle heure, je ne sais. Je pus, moi aussi, rentrer dans la mienne, vers minuit, et prendre du repos, bénissant Dieu pour cette journée.
Le lendemain, même expérience. Au cours des quatre réunions de la journée de longues files d'hommes et de femmes en larmes vinrent se prosterner dans la contrition et accepter le salut pour s'en retourner ensuite débordants de joie.
Au retour de cette quatrième réunion (que je croyais la dernière), je trouvai à la maison de la mission une chambre pleine de Russes agenouillés et priant tout bas, comme seuls les Russes savent le faire, avec des accents d'intense sincérité. Je me joignis à eux pendant quelques instants, puis, vers minuit, je me retirai dans ma chambre. Quelle journée merveilleuse encore ! Quelles conversions ! Quelle joie ! Quelle puissance ! Jamais de ma vie je n'avais prêché à de telles congrégations, ni au Canada, ni dans toute l'Amérique.
Le jour de Pâques fut une journée inoubliable ! Le premier culte du matin commençait à 6 heures et ce ne fut pas facile pour moi de prêcher à une heure aussi matinale, m'étant couché fort tard la veille. Il y avait cependant environ 1.200 personnes à ce culte, et beaucoup répondirent à la demande d'accepter Christ comme leur Sauveur.
A 10 heures, seconde réunion avec salle archicomble, et qui dura quatre heures.
Après le dîner je me jetai sur mon lit pour me reposer un peu et je ne me réveillai que juste à temps pour la réunion de 4 heures. Il y avait là environ 1.400 personnes, et de nouveau plusieurs s'approchèrent pour répondre à l'appel de Dieu, tandis que l'Esprit se mouvait d'une façon solennelle sur toute l'assemblée. Le salut était entré dans bien des vies et très chaudes furent leurs poignées de mains tandis que je saluais cette longue file de nouveaux convertis. Il y avait là beaucoup de jeunes gens et de jeunes filles, des personnes âgées aussi, et même de très jeunes enfants. Tous avaient trouvé en jésus leur Sauveur, et comme leur joie était grande !
Le lundi je me trouvais dans une église russe où j'avais déjà prêché cinq ans auparavant. Là encore c'était la foule compacte, se pressant pour écouter la Parole, tandis que je parlais de la victoire sur le péché.
Beaucoup s'avancèrent et se mirent à genoux tandis que le Saint-Esprit pénétrait dans leur vie et rendait réelle cette transaction avec Dieu. Certains de ces visages semblaient déjà glorifiés tant leur joie était radieuse !
Puis vint la réunion du lundi soir, et je me demandais si ce serait comme en Amérique, le jour de relâche. Mais mes doutes furent bien vite dissipés en voyant une fois de plus les foules s'entasser dans la chapelle, dans les galeries jusqu'au plafond, beaucoup devaient rester debout. Quelle vision, mes amis que celle de tous ces regards intenses fixés sur nous. J'étais ému jusqu'au fond de l'âme. Et comme ils écoutaient ! A la fin je proposai un « after meeting ». Environ 500 personnes s'en allèrent et tous les autres voulurent rester. Les premiers bancs furent vite remplis de pénitents anxieux d'être éclairés. Je leur expliquai clairement le message du salut et, tandis que je parlais, les larmes coulaient sur leurs visages. Des péchés furent confessés et pardonnés, Christ était reçu dans les coeurs, et la note de louange se fit entendre, montant vers Dieu de tous côtés. Oh ! La joie céleste sur ces visages ! Deux d'entre les auditeurs étaient encore troublés et hésitants ; mais, après que je leur eus montré le chemin, l'un d'eux fondit en larmes et, dans la joie du salut, se mit à louer Dieu.
Ainsi se termina l'une des plus merveilleuses campagnes de réveil que je n'aie jamais vécues. Jamais en Amérique je n'ai eu d'expérience équivalente et je n'oublierai jamais les scènes émouvantes dont j'ai été témoin. Quelle faim et quelle soif de Dieu chez ces gens ! Où trouverions-nous un esprit pareil dans notre pays ? Oh ! Combien je Le bénis ! Gloire à Son glorieux Nom ! Oui, mes amis, le Dieu de Finney, de Moody et d'Evan Roberts est toujours le même. Il est NOTRE DIEU pour toujours. Il est toujours le Dieu du Réveil. Son bras n'est pas raccourci, ni son oreille devenue pesante. Il entend, Il exauce la prière de la foi. Alléluia !
Quant à moi, je dois dire que j'ai été profondément humilié. Dieu m'a richement béni dans mon âme. Cela a exigé une nouvelle crucifixion, une expérience plus profonde encore, une marche plus étroite avec Lui. Mon coeur a été brisé devant Lui et le mot d'ordre doit être désormais : « DIEU LE PREMIER ! » Je mets de côté joyeusement tous mes plans, mes ambitions, pour adopter les Siens. Je ne sais ce que l'avenir me réserve; mais si seulement Il veut bien condescendre à se servir de moi pour un travail de réveil spirituel et profond, je serai plus que satisfait. Peu importe où ce sera, dans ma patrie ou au loin. « Où Tu voudras, je veux te suivre. » Mon désir est d'être entièrement livré à mon Dieu et de vivre moment par moment tellement séparé du monde et de la chair que je puisse jouir d'une communion ininterrompue avec mon précieux Seigneur.»
Amis lecteurs, j'ai voyagé à travers l'Europe, le Proche et l'Extrême Orient, le Canada et les Etats-Unis. Je suis allé de l'Atlantique au Pacifique, j'ai assisté aux plus grandes conventions évangéliques, entendu les meilleurs prédicateurs; mais jamais je n'ai vu nulle part rien de semblable à ce que je viens de décrire plus haut.

Pourquoi cela ? Dieu aurait-Il abandonné l'Amérique, le Canada, l'Angleterre ? Pourquoi n'y a-t-il pas dans nos pays de véritable Réveil spirituel ? Parce que la condition essentielle fait défaut : c'est la SOIF. Oui, ce qui nous manque ici, c'est cette réelle et profonde soif spirituelle, cette recherche ardente du coeur qui a soif de Dieu. Tant d'autres choses remplissent notre vie ! Nous avons tellement de confort, de luxe et d'abondance que nous ne sentons pas notre besoin de DIEU. Si nous devions être dépouillés de toutes nos possessions terrestres, ce serait peut-être notre salut.
Ici les gens ne se soucient pas d'assister à des réunions, et il faut dépenser des sommes énormes en publicité pour parvenir à les intéresser un peu, tandis que les cinémas et les lieux de plaisir sont pleins. Les foules se pressent dans les parcs et sur les plages, alors que nos temples sont presque vides. Plus la journée est belle, plus grande est la tentation de partir en voiture, et nul ne songerait à faire à pied dix kilomètres ou plus, pour assister à une réunion ! D'où mon diagnostic qu'il n'y a pas de SOIF spirituelle. Le peuple russe, par contraste, ne possède que peu de biens de ce monde, d'où sa faim et sa soif des biens permanents, des richesses divines.
Nous qui connaissons cette soif spirituelle, Dieu soit béni, il y en a quand même ici et là ne voulons nous pas mener deuil sur nos pays soi disant « chrétiens » et invoquer le Seigneur afin qu'Il crée Lui-même dans les coeurs ce désir ardent de Réveil, même si cela devait être par le moyen de la tribulation, de l'adversité, des pertes matérielles. Qu'importe l'épreuve, pourvu que naisse enfin dans les coeurs, cette soif sans laquelle il ne saurait y avoir de vrai Réveil.

vendredi 26 juillet 2013

La foi n'est pas une pensée positive biblique

Si l’on se sent aimé de Dieu, on peut affronter pratiquement n’importe quelle difficulté de la vie. Car nous savons qu'Il est et sera avec nous:"Voici le Dieu qui m'a sauvé,j'ai confiance, je n'ai plus peur. Oui, ma force et mon chant, c'est le SEIGNEUR.Il est mon sauveur" Esaïe 12: 2 (Parole de Vie) La foi n'est pas une pensée positive biblique, mais une relation avec celui qui nous donne la foi. Beaucoup ont de l’anxiété non pas toujours à cause du péché, mais à cause d'un manque de communion avec l'Esprit de Christ. Avoir la foi dans une religion, une dénomination, en l'homme, dans les œuvres, nous conduit droit dans le mur. La foi, la vrai est du temps passer avec Lui. J'aurai bientôt un témoignage, patient !


Missionnaire Dominique BERTRAND

dimanche 21 juillet 2013

Je n'engage aujourd'hui...



Combien ont commencé à bâtir leur « cathédrale » mais ne la termineront jamais !
La crise frappe à la porte de tous ceux qui ont fait des crédits pour se bâtir de beau bâtiment.
En Afrique, déjà très pauvre, ils invertissent non pour la mission, mais pour avoir une « belle église ». En Europe combien ont fait des crédits pour se bâtirent de « belles églises » ?

Plein de pasteurs et missionnaire font des appels de fond, appel au partenariat...AIDEZ-MOI ! Exemple: " Je suis pasteur stagiaire dans une église de la Mission Évangélique La Parole Prophétique, en Côte D'Ivoire. Nous avons 15 (quinze) temples de 200 (deux cents) à 500 (cinq cents) places en construction; et nous sommes financièrement épuisés.Il nous faut
90 000 Dollars américains, soit 45 000 000 f CFA pour faire avancer les travaux. C'est pour quoi je demande à toute personne ou à toute église sœur, soucieuse de la propagation de l’Évangile de Jésus d'être sensible à cette demande et faire le geste qui saute. Que Dieu vous rende au centuple ce que vous donnerez à la Mission Évangélique La Parole Prophétique"
http://aide-afrique.com/
Dieu à t-il besoin de ces 15 bâtiments ????
45000000 CFA pourrait donner à manger et soigner pleins d'Africains. Mais aussi développer des projets humanitaires

Ou est la VRAI foi ?????
La crise passe...que devient la vision ???
Faut-il tout arrêter faute d'argent, de don ?
Dieu est-il dépendant du système financier humain ?
Ne voyons-nous pas que notre « bazar évangélique» à des problèmes ?
Quand allons-nous réagir et venir dans la repentance au pied de la croix ?

Je n'engage aujourd'hui à ne jamais donner de l'argent pour la construction d'un bâtiment d'église
L’Église Africaine à besoin de l'argent, des dons pour le bien être des personnes en danger, des malades, orphelins. Besoin pour creuser des puits d'eau fraiche, pour des projets agropastorale. Également besoin pour donner des salaires décents à ces missionnaires et pasteurs dans les brousses, et non de bâtiment en ciment.
OUI A UN PARTENARIAT A VISAGE HUMAIN ET NON POUR DES BLOC DE CIMENT. Pour cela allez voir ailleurs, merci !
Missionnaire Mr Dominique BERTRAND