vendredi 28 juin 2013

En Ouganda, une enfant du bidonville devenue étoile des échecs

Phiona Mutesi est une championne d'échecs qui a grandi dans un bidonville de Kampala, la capitale ougandaise. L'adolescente a appris à jouer dans un petit club de quartier où elle venait avant tout pour recevoir le repas gratuit distribué aux enfants de la rue. Aujourd'hui elle participe à des tournois internationaux et son parcours a attiré l'attention des studios Disney qui ont prévu un film inspiré de sa vie.

samedi 8 juin 2013

Malnutrition infantile: il faut agir maintenant



Près de 52 millions d'enfants âgés de moins de cinq ans ont souffert de malnutrition aiguë, en 2012.

Chaque minute, environ dix enfants dans le monde meurent de malnutrition aiguë. Et pourtant, pour la première fois, les acteurs de l’aide humanitaire et les Etats disposent d’outils et de stratégies qui permettraient d’éviter la mort de ces enfants.
Si on a parfois tendance à en ignorer l’ampleur, la malnutrition aiguë demeure un phénomène bien réel. En 2012, 52 millions d'enfants âgés de moins de cinq ans en ont souffert. La forme la plus sévère atteint 29 millions d’entre eux.
Aujourd’hui, nous savons qu’attendre qu'un enfant soit touché de malnutrition aiguë sévère [pdf] pour le soigner est une erreur. En effet, les procédures à mettre en œuvre génèrent un coût bien trop élevé en termes de ressources humaines puisque chaque enfant nécessite un minimum de cinq consultations, et qu’un enfant sur cinq doit être hospitalisé. Ce qui est impossible dans les pays les moins développés, qui font face à une pénurie de personnel médical qualifié.
Ces soins de la dernière chance ont aussi un prix prohibitif (100 à 150 euros par enfant en fonction des pays), qui détourne de cette cause les Etats les plus riches. Ces derniers sont lassés d’avoir à soigner année après année les mêmes enfants, de débourser sans fin des sommes importantes.

Prévenir plutôt que guérir

Lors de la Conférence internationale contre la malnutrition infantile en Afrique sub-saharienne, organisée par l’Unicef à Paris les 13 et 14 mai, un consensus a donc émergé entre les partenaires sur la stratégie à suivre: il faut prévenir et non guérir la malnutrition aiguë sévère. Il s’agit de la seule solution viable et durable pour réduire de façon significative la mortalité infantile liée à la malnutrition.
Pour la première fois, la stratégie fait consensus, mais aussi les outils et la méthode à suivre. Pendant longtemps s’est posé le problème de la conservation des produits distribués aux jeunes enfants par les associations humanitaires et les Etats.
Mais aujourd’hui une révolution technologique a eu lieu, qui, si elle change la donne, demeure pourtant largement ignorée du grand public. Des aliments de supplément prêts à l’emploi ont été développés, qui permettent de stabiliser les apports en lait et micro-nutriments. Y compris dans des endroits chauds et sans prendre le risque de contaminer les enfants les plus vulnérables, notamment ceux de 6 mois à 2 ans. Une étude réalisée au Niger démontre que les enfants ayant reçu des compléments nutritionnels ont vu leur mortalité réduire de 50%.

Encourager la vaccination

Autre élément essentiel: le développement d’une approche intégrée. Nous savons qu’il existe une corrélation évidente entre certaines maladies et la malnutrition aiguë sévère. Un enfant malade a beaucoup plus de chance de souffrir de malnutrition et réciproquement, un enfant malnutri se défend moins bien face aux infections, développe des pathologies plus sévères et a un risque plus élevé de mourir d’une simple diarrhée ou d’une infection respiratoire.
La prévention de la malnutrition doit se faire dans le même temps que la prise en charge des soins pédiatriques: détection et traitement précoce des pathologies les plus tueuses et vaccination.
De plus, il est plus facile pour une mère devant faire 20 ou 30 kilomètres à pied pour faire vacciner son enfant, de la convaincre de le faire si elle peut dans le même temps recevoir un complément alimentaire efficace.

Simplifier les processus sanitaires

Les outils et la méthode ont donc été identifiés et le combat pourrait être lancé sans plus attendre. Pourtant, des obstacles demeurent qu’il nous faut maintenant lever. Il s’agit d’abord de simplifier les protocoles de traitement pour arriver à proposer à moindre coût et à grande échelle ces services.
Un exemple: au Niger où Alima et son partenaire Befen sont présents depuis 2009, certaines familles doivent parcourir plus de 15 kilomètres à pied pour atteindre un centre de santé. Il faut donc faire des mères des agents clef de la décentralisation des soins. Elles sont les mieux placées pour dépister au plus tôt la malnutrition de leur enfant et permettre un traitement rapide avant que leur situation ne s’aggrave.
Dans cet esprit, Alima et Befen ont initié au Niger le programme Mothers understand and can do it (MUAC, Les mères comprennent et peuvent le faire, en français), qui propose un dépistage de la malnutrition aiguë sévère par les mères grâce à l’utilisation du ruban de mesure du périmètre brachial. Ce type d’intervention simple doit être généralisé.

Une action plus collective des ONG

Il faut aussi d’urgence simplifier l’architecture de l’assistance internationale. En effet, la multiplication des programmes internationaux verticaux qui ne répondent qu’à une seule partie des besoins, complexifie considérablement la mise en place d’une offre de soins pédiatriques globale.
Ainsi, le Fonds mondial propose des traitements contre le paludisme, Gavi Alliance rend disponibles des vaccins, l’Unicef apporte les aliments pour la forme la plus sévère de la malnutrition, le Programme alimentaire mondial (PAM) pour sa forme modérée. Sans que ces acteurs ne puissent développer une stratégie cohérente dans laquelle chaque apport renforcerait l’utilisation des autres composantes.
Cet éclatement du système d’aide est dans doute aujourd’hui l’obstacle le plus difficile à surmonter pour des acteurs de terrain comme Alima et pour les ministères de la santé des pays concernés.

100 dollars par an

Mais les obstacles de la prévention de la malnutrition sont également financiers. Les aliments de complément et les soins pédiatriques ont un coût: environ 100 dollars par an durant les deux premières années d’un enfant. Des engagements sur des financements à long terme sont aussi indispensables pour mettre en place ces actions.
Mais si de tels engagements étaient pris, on pourrait atteindre en moins de deux ans des taux de mortalité comparables à ceux des pays développés et des couvertures vaccinales supérieures à 95%.
Pour les plus cyniques, il est peut-être temps de rappeler que la diminution de la mortalité infantile représente un levier de croissance du Produit intérieur brut (PIB) significatif, selon la Banque mondiale.

"La balle est dans le camp du Nord"

Au-delà de cet argument, politiquement, moralement et socialement, il devient inacceptable de ne pas mettre en œuvre des politiques de soins adaptées qui ont fait leurs preuves en sauvant des dizaines de milliers de vie chaque année.
Nous sommes à un tournant de la lutte contre la mortalité infantile. En plus du consensus sur les actions concrètes à mener, il faut une réelle décentralisation des soins vers les mères, un effort de coordination des grandes initiatives de santé globale et un engagement financier significatif lors du sommet du G8.
Pour la première fois, les solutions existent, les volontés politiques des pays touchés aussi. La balle est dans le camp du Nord. Le prochain sommet du G8 à Londres, les 17 et 18 juin, peut et doit être le moment de ce choix politique.
 http://www.youphil.com/fr/article/06547-malnutrition-infantile-nord-agir-ONG-G8-humanitaire?ypcli=ano

En Europe aussi, des enfants travaillent

En Italie, des milliers d'enfants quittent les bancs de l'école pour travailler au noir.

A Naples, les enfants doivent de plus en plus travailler pour aider leurs parents. C'est l'une des villes les plus pauvres d'Europe et les nombreux plans d'austérité, mis en place par le gouvernement italien depuis plus d'un an, aggravent la situation. A 14 ans, Gennaro gagne 50 euros par semaine comme commis de boutique dans une épicerie. Six jours sur sept, dix heures par jour, l'adolescent est bien loin des bancs de l'école.
Ils sont près de 54.000, comme Gennaro, à avoir quitté le système scolaire dans toute la Campanie, la région de Naples, entre 2005 et 2009. "C'est du jamais-vu depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale", commente Sergio d'Angelo, adjoint à la mairie de Naples. Une situation qui fait craindre le retour du travail des enfants, au détriment de "leur droit à grandir", dans une Europe en pleine crise.
http://www.youphil.com/fr/article/05140-europe-enfants-travail-naples-crise?ypcli=ano

mardi 9 avril 2013

CROIRE LA RÉALITÉ DE LA VIE OU LA VÉRITÉ DE DIEU ?

« Parce que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde; et la victoire qui triomphe du monde, c'est notre foi » 1 Jean 5.4 
 


Beaucoup son écrasé par les réalités de la vie, beaucoup même se suicide, car ne voyants aucun espoir devant eux.

Et malheureusement aussi des chrétiens personnes sensé montrer le chemin, la vérité et la vie sont elles-mêmes dans l'ignorance de leur complète victoire en Christ et vit une existence de malheur

Oui il y a bien une RÉALITÉ que nous voyons et lisons dans nos médias

Une RÉALITÉ triste et malheureuse (drame social, chômage, crise économique, suicide, sida, maladie, grippe aviaire, menace de guerre nucléaire etc.)

Cela nous affecte  d'une façon comme d'une autre, même nous chrétiens nés de nouveau (passons plus de temps à médité la parole que de regarder les informations à la télévision parce que la FOI VIENS DE CE QU'ON ENTEND donnons-nous FOI aux mauvaises nouvelles ?)
 Il ne craint point les mauvaises nouvelles; Son cœur est ferme, confiant en l'Éternel. Psaumes 112.7

Pourtant Jésus-Christ à BIEN DIT : « Ne vous inquiétez donc point, et ne dites pas: Que mangerons-nous? que boirons-nous? de quoi serons-nous vêtus? » Matthieu 6.31
Voici une histoire étonnante : « Ton vêtement ne s'est point usé sur toi, et ton pied ne s'est point enflé, pendant ces quarante années » Deutéronome 8. 4
Point usé..., littéralement : point usé de dessus toi, de manière à tomber en lambeaux. Qui se conservèrent d'une manière tout à fait extraordinaire.
Ton pied ne s'est point enflé : ils ont supporté sans en souffrir toutes les fatigues de ce long et terrible voyage. Note Bible Annotée de Neuchâtel
40 années sans acheter de nouveau vêtement, ni chaussure ??

Dieu avait pourvu pour son peuple dans le désert (eau, nourriture, vêtement etc)

Nous avons perdu la notion du miraculeux biblique au profit d'une religion vide de l'Esprit du Christ. Nous nous sommes habitué à l'état-providence et non à Dieu lui-même. Nos prières sont empreintes d'incrédulité et non de la foi divine.

Résultat...des chrétiens complètement à terre par la RÉALITÉ DE LA VIE

N'oublions pas la parole de Dieu qui est l'anti-réalité car nous montre la VÉRITÉ de ce que nous pouvons vivre en Christ... LA VICTOIRE à nous de croire ou de ne pas croire
« L'Éternel te donnera la victoire sur tes ennemis qui s'élèveront contre toi; ils sortiront contre toi par un seul chemin, et ils s'enfuiront devant toi par sept chemins » Deutéronome 28.7

« Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus Christ! » 1 Corinthiens 15.57
Shalom
Dominique

mardi 26 mars 2013

Dieu est fidèle



Un jour au Bénin, je fus la connaissance d'un brave jeune homme
Il avait une passion qui était d'évangéliser les peuples non atteints de son pays
Ce garçon vivait complètement par la foi
Mais ces déplacement se pratiquait uniquement à pied et cela sous tous les temps
Il vivait dans un village de brousse sans électricité, ni confort.
Ce frère avait une moto mais en panne et sans moyens financiers pour réparer
Comme il n'avait pas de moyen financier, il ne pouvait se prendre sa carte d'identité


Mais Dieu est fidèle !

Il reçut 45 euros sommes ridicules pour nous Européen cela représente +/- deux à trois jours de nourriture
Mais pour notre ami du Bénin cela représente beaucoup ( +/- 30000 cfa)
Aujourd'hui il est heureux car, il a sut réparé sa moto et se déplace plus facilement et rapidement pour l'évangélisation.
De plus, il a pu acheter sa carte d'identité et de la nourritures pour plusieurs jours , amen !
« Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus » Matthieu 6.33

Même si le don peut paraître insignifiant (à tes yeux) sache que pour beaucoup cela est un trésor d'abondance
N'attend pas d'avoir beaucoup pour donner
DONNE-LA GOUTTE D'EAU QUI PROVOQUERA UNE RIVIÈRE DE BÉNÉDICTION

Shalom

Dominique

jeudi 28 février 2013

Venons prier...


“Priez par l’Esprit à tout moment et en toute occasion.” Ephésiens 6.18 TP

Au mois d’août de l’année 1806 cinq étudiants du collège Williams se retrouvèrent dans un champ où ils avaient pris l’habitude de se rencontrer pour prier ensemble, deux fois par semaine. Ce jour-là une orage les força à se réfugier derrière des meules de foin. L’un d’eux, Samuel John Mills continua de prier en partageant son désir de voir la foi chrétienne atteindre les extrémités de la terre et le groupe se joignit à Lui pour prier que des missions américaines partent vers l’est pour y faire connaître le christianisme. Beaucoup considèrent aujourd’hui que cette rencontre de prière impromptue derrière des meules de foin près de Williamstown dans le Massachusetts fut l’étincelle qui déclencha l’engouement des américains à soutenir des missions partourtdans le monde. En 1808, le groupe d’origine, aidé d’autres étudiants du même collège formèrent une société, “les Frères”, destinée à encourager les missions à l’étranger.
Leur exemple aboutit à la création, quelques années plus tard, du Comité Américain des Missions à l’Etranger. Plusieurs des étudiants, dont Adoniram Judson, partirent comme missionnaires en Asie. Les premiers partirent en 1812. Samuel John Mills resta aux Etats-Unis pour organiser le recrutement des missionnaires et participa à la création de la Société Biblique et de la Société des Missionnaires Unifiés. En cinquante ans d’existence la Société envoya à l’étranger plus de 1250 missionnaires. En 1961 fut fondée le Comité des Eglises Unifiées pour les missions étrangères. En 150 ans le comité a envoyé plus de 5000 missionnaires dans 34 pays différents. Et tout a commencé avec un groupe de cinq étudiants en train de prier derrière quelques meules de foin !
Rien ne peut remplacer la prière, ni l’argent ni les meilleures plans ! En vérité de grandes choses peuvent être accomplies par la prière, mais rien n’est possible sans la prière. Venons donc prier ensemble ! D'après Bob Gass

vendredi 8 février 2013

Georges Müller

L'histoire incroyable mais vrai d'un homme de Dieu qui a osé prendre Dieu au mot ! Il s'est occupé de 10 000 Orphelins durant toute sa vie, sans jamais demander d'argent à qui que ce soit !
Voilà de quoi se faire une idée en voyant ce plan d'ensemble des 5 orphelinats ! Gloire à Dieu. Et dire qu'il a reçu l'argent en réponse à ses prières pour construire ce magnifique complexe pour les orphelins. 
Source Facebook https://www.facebook.com/media/set/?set=a.342544612439679.94229.100000524300907&type=1